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Lu, vu, entendu : « Critiques et cyniques »

Les ravages de la critique « complexe », la chronique du cynisme ordinaire. Etc.

I. Critiques « complexes »

Grands consommateurs d’amalgames, les spécialistes de la « théorie du complot » la voient partout. Mensonges délibérés et simplismes volontaires de la critique « complexe » :

 Le lamentable mensonge d’une journaliste de Charlie Hebdo

Dans le livre de Fiammetta Venner, L’effroyable imposteur. Quelques vérités sur Thierry Meyssan, qui sort ces jours-ci chez Grasset, la journaliste de Charlie Hebdo se livre à un lamentable mensonge. Page 247, à propos des reportages d’Arte chez Daniel Leconte en avril 2004, on peut lire ceci :

« Ceux qui jusque-là se gardaient de défendre ouvertement Thierry Meyssan se dévoilent. Le réseau Acrimed prend fait et cause pour Meyssan . Dans un article d’Arnaud Rindel intitulé "Arte et la théorie du complot : une émission de propagande de Daniel Leconte", rerouté sur de nombreux forums de gauche, les documentaires sont descendus en flèche comme des "documentaires à charge, suivis d’un débat à sens unique". » [1].

Evidemment, le lecteur de Fiammetta Venner (qui ignore qu’Acrimed n’est pas un « réseau » mais une association) faute d’indication précise, ne pourra pas vérifier le contenu de l’article mentionné et s’apercevoir que celui-ci ne prend nullement « fait et cause pour Meyssan ». Voir notre article : « Arte et la théorie du complot : une émission de propagande de Daniel Leconte ».

Rappelons que Fiammetta Venner, victime de cet accès de déontologie, n’en est pas à son premier essai. Lire « Elle court, elle court la rumeur » (suivi de « Charlie Hebdo court après les rumeurs qu’il répand »).

Tous les moyens sont bons quand on défend LA juste cause...

 La redoutable complexité d’un penseur en toc

Dans son numéro de mars 2005, Toc consacre un dossier à la théorie du complot, en particulier par le biais d’un long entretien avec Antoine Vitkine, auteur du documentaire « Le 11 septembre n’a pas eu lieu » et d’un livre, Les Nouveaux imposteurs (éd. La Martinière).

TOC : - Vous dites qu’il y a un terreau intellectuel qui précède les théories du complot, incarné par Bourdieu, Foucault, Chomsky. Ce n’est pas un peu limite de les associer à cette dérive ?
Antoine Vitkine : - Je pense qu’ils sont, de manière schématique, des penseurs de la domination. Cette posture critique est intellectuellement et politiquement utile, pour fonder des politiques de gauche notamment. Mais elle porte aussi en germe une logique du soupçon. Bien sûr, Bourdieu et Foucault étaient bien trop intelligents pour tomber dedans. Mais ils ont amené l’idée, reprise par d’autres de façon beaucoup plus primaire, qu’il y a des dominants constitués en groupe dotés d’une volonté propre et négative, que le monde est régi par un clivage manichéen dominants / dominés. Cette vision peut expliquer bien des dérives, celle de Chomsky entre autres. Et l’un des disciples de Bourdieu, Serge Halimi, pousse la logique jusqu’à des choses assez paranoïaques  ; il est dans une logique de soupçon très forte. »

Sitôt après la réponse de Vitkine qui met en cause, notamment, Serge Halimi, Toc enchaîne, avec un sens de l’à propos « complexe » : « Peut-on dire qu’il y a justement des théories du complot soft et des théories plus dures, comme Les Protocoles des Sages de Sion ? »

En somme, Serge Halimi serait un falsificateur antisémite « soft »... Et, sans doute, un complice de Thierry Meyssan - dont Serge Halimi a démonté l’ouvrage dès sa parution sous le titre... « Complotite », dans Le Monde Diplomatique de mai 2002. Cette information, nos enquêteurs, évidemment, préfèrent la passer sous silence.

Plus drôle, si l’on peut dire, Toc présente ainsi Noam Chomsky : «  Il analyse la politique impérialiste des États-Unis et le système médiatique comme un instrument de domination et dénonce le " complot médiatique " ». On appréciera particulièrement les guillemets « complexes » qui attribuent à Noam Chomsky une expression qu’il n’a a jamais utilisée...

Plus loin, Vitkine rend hommage à Charlie Hebdo : « On peut être satirique et corrosif en maniant l’humour comme Charlie, mais en essayant de restituer la complexité du monde avec intelligence et lucidité .  » Ainsi, après avoir célébré la lucidité de son propriétaire (Lire : Philippe Val, critique, stratège et ... psychiatre), Toc découvre celle de Charlie Hebdo. Toc a bien mérité de l’hebdomadaire : il devrait en devenir le mensuel...

D’autant que la critique qu’il honore dans ses colonnes est d’une remarquable complexité : pas un seul argument, pas une seule citation, une succession d’affirmations péremptoires que rien, non vraiment rien, ne vient étayer. Halimi n’est jamais que le « disciple de Bourdieu » qu’il ne fut jamais, si du moins « disciple » est un mot qui a le moindre sens précis. Quant au paranoïaque, il avait déjà été diagnostiqué par Philippe Val, dont on ne dira jamais assez le goût pour la psychiatrie [2].

Du grand journalisme et, surtout, beaucoup d’humour !

II. Cyniques ordinaires

Rien n’est trop beau pour...

 Cynisme de commerçant. Sous le titre « Leclerc recycle la communication politique », Les Echos (1er mars) publient une interview d’Edouard Leclerc à propos de sa campagne, vulgairement publicitaire, mais qu’il définit comme « politique », récupérant avec vantardise les œuvres de l’Atelier populaire de mai 68.

Question du journaliste : « Quelles réactions a provoqué cette campagne ? »
Réponse : « En règle générale, un grand éclat de rire » (A-t-il les statistiques à sa disposition ?). Même si quelques militants du mouvement Attac ont contesté le plagiat de ces visuels, via leur site Internet, en nous accusant d’utiliser de façon marchande des images conçues dans un esprit non marchand. La seule chose, c’est que ces militants qui revendiquent Mai 68, alors qu’ils n’étaient pas nés à l’époque, ignoraient que quelqu’un avait déposé les droits de ces visuels et que nous les lui avons rachetés. ».

 Cynisme pour patronat. « Nos » entreprises battent des records en termes de bénéfices, ce qui n’est pas le cas des salaires. Des voix se sont élevées dans les médias pour s’en étonner ou s’en indigner. D’autres se sont vite appliquées à les faire taire par des arguments spécieux. A notre premier relevé (Voir dans Lu, vu, entendu, n°10, « L’ "innocence" des journalistes économiques  »), on peut ajouter le persiflage :

« La France les accuse de cupidité. Plutôt que d’applaudir leurs succès, qui rapportent des milliards à l’Etat, la France proteste contre les dividendes versés aux actionnaires opulents. S’ils étaient dans le rouge, nos champions industriels, c’est sûr, tout irait mieux. Et les créations d’emploi reprendraient de plus belle !  » (Laurent Guez, dans Le Figaro Entreprises 28 février 2005).

 Cynisme pour propriétaires. Dans Le Parisien (24 février 2005), rubrique « Courrier/vos droits », une question : « Mon locataire m’a adressé une facture pour le remplacement de la chaudière. A qui incombe cette dépense ?  »

Réponse : «  Selon les termes du décret du 26 août 1987 - n° 87-712 - qui fixe la liste des réparations locatives , c’est à vous de remplacer la pièce défectueuse ou la chaudière, sauf disposition contraire stipulée dans le bail. » Précision : «  Toutefois , votre locataire n’aurait pas dû vous mettre devant le fait accompli et vous êtes en droit de ne pas lui rembourser cette réparation.  »

III. Esotérismes

Volontairement et involontairement...

 Esotérisme à la « Une »... « Alerte », écrit Le Figaro Magazine du 26 février : « Le nouveau Dan Brown arrive avec sa cohorte d’anges et de démons. Au coeur de l’intrigue : sectes voulant dominer le monde et complot. La recette qui a fait le succès du « Da Vinci Code » est intacte ». Et c’est parti pour un dossier sur les croyances obscures des Français. Une autre recette promise au succès...

... Cuisinée par des médias en grand nombre. Parmi eux, on retiendra la « Une » (plus un hors-série) du Point du 24 février sur l’ésotérisme (qui ressemble comme deux gouttes d’eau à celle du Fig-Mag). Elle présente ainsi le livre-événement : « Le Point a lu le livre, raconte ce qui fait figure d’événement mondial et décrypte les ressorts d’un stupéfiant succès à base d’ésotérisme. » Vive l’investigation !

 Esotérisme entre deux pages. Relève sans doute de l’ésotérisme (ou de la « segmentation marketing » ?), le choix laissé aux lecteurs de Paris Match du même numéro (celui du 24 février 2005) entre deux versions de la rencontre Bush-Chirac.

- Dans la rubrique « people » - celles des gens heureux :

« Finie la mésentente cordiale »
« Bush-Chirac sur la même longueur d’onde »

- Et, en fin de magazine, rubrique « géopolitique », celle de l’information sérieuse :

« Des retrouvailles sans enthousiasme »

IV. Jours agités dans le microcosme (suite)

Surtout ne pas oublier les journalistes importants (lire : Lu, vu, entendu : « Jours agités dans le microcosme »)...

 Josyane Savigneau : Colombani est misogyne. Interrogée sur sa chute par Technikart (mars 2005), Josyane Savigneau répond ainsi à la question « Vous avez pu choisir votre successeur ? » : « La condition, c’était qu’on ne propose pas quelqu’un de moins compétent que celle que j’avais proposée, Florence Noiville. Maintenant, je n’aime pas trop utiliser cet argument ou paraître parano, mais quand on m’annonce un type beaucoup moins compétent qu’elle [Laurent Greilsamer], j’ai l’impression qu’il s’agit tout simplement de misogynie. Beaucoup de gens ont été choqués et mon téléphone a explosé. »  [3] Dans le même entretien, Josyane Savigneau annonce qu’elle reste, « bien sûr », à Campus (France 2) et que ça rapporte : « C’est compliqué. En fait, c’est Le Monde qui est payé et qui, sur cette somme, me reverse une pige, environ 1000 euros par émission. ».

 Hondelatte : cher payé par la redevance. Le 28 janvier 2005, Christophe Hondelatte refuse de présenter le JT de France 2 : une fonction à laquelle il a succédé à Daniel Bilalian en septembre 2004. Motifs évoqués dans la presse : surmenage et/ou un article de Libération qui lui aurait déplu et/ou les conflits au sein de la rédaction.

Ce refus est suivi de son remplacement par Benoît Duquesne et de l’ouverture d’âpres négociations sur le montant des indemnités auxquelles il a droit, puisqu’il n’a pas été licencié pour « faute grave » comme l’aurait été sans doute n’importe quel ouvrier ou employé qui, à la suite d’un « pétage de plombs », aurait abandonné son poste de travail sans crier gare.

Selon la presse (par exemple L’Express du 21 février 2004), calculées sur la base de son salaire mensuel (11000 euros) et de ses années d’ancienneté, ces indemnités auraient pu se monter à 100 000 euros. Hondelatte devra se contenter de 60 000 euros « seulement ». Une misère ! Même pas de quoi louer à l’année l’appartement qu’Hervé Gaymard vient de quitter... [4]

V. Une correspondance édifiante avec Pierre Weill (France Inter)

 Acte I. Le 3 février 2005, un auditeur écrit à Pierre Weill, à propos du « 7-9 » du même jour sur France Inter.

« Bonjour,

Je vous écris suite à trois "évènements" qui m’ont surpris et même quelque peu déçu ce matin sur France Inter dans le 7-9. Je les donne dans l’ordre où elles ont été dites.

1) Pierre Weill demande à Bertrand Delanoé ce qu’il a à répondre au fait que l’opposition lui reproche son augmentation de budget de communication et de réception. Bertrand Delanoë, pas très directement d’ailleurs, répond que ces chiffres sont faux, et qu’il a réduit les budgets com’ et réception. Pierre Weil avait donc pris le temps de s’informer sur les reproches de l’opposition, ce que je trouve très bien. Je trouve qu’il serait aussi dans son rôle de se renseigner sur la véracité des chiffres. On avait l’impression ici que de savoir si le budget com’ avait augmenté ou non était juste une affaire de point de vue. Il aurait suffit que le journaliste donne les chiffres réels. Ca aurait fait parti de son rôle, et je ne comprends pas qu’il ne l’ait pas fait. D’où mon interrogation.

2) Un auditeur à juste titre demande pourquoi on donne chaque matin l’indice nikkaï qui n’intéresse personne, car les personnes que ça intéresse n’attendent pas France Inter pour se renseigner, et demande pourquoi, par exemple, on ne donne pas chaque matin le nombre de SDF. Pierre Weil répond qu’il y a, sur France Inter, des reportages sur les SDF. Mais ce n’est pas la question. La question (qui reste toujours posée) est pourquoi un rappel systématique de la Bourse et pourquoi pas d’autres rappels systématiques (les SDF n’étant qu’un exemple).

3) Dans le même genre, le même auditeur demande pourquoi Sylvestre parle tous les jours sur France Inter et donne son opinion libérale, et que cette opinion n’est contrebalancée qu’une seule fois par semaine (par Bernard Maris). La réponse de Pierre Weil est étonnante : les débats sont très chauds tous les vendredi matin avec Bernard Maris. Oui, mais la question, là encore, demeure : pourquoi juste une fois par semaine. Pourquoi 4 jours de libéral non contredit et 1 jour de débat. Si on s’amusait à compter, on pourrait dire qu’il y donc 90% de Sylvestre pour 10% de Marris. Et la question, toujours sans réponse : pourquoi une telle proportion ?

Je vous remercie de l’attention que vous pourrez consacrer à ce message. Sachez que je suis un fidèle auditeur de France Inter, qui propose une vision généralement un peu différente et un peu moins formatée. C’est justement le fait que j’aime cette station qui fait que je suis pour elle plus exigeant peut-être. Je vous remercie par avance des réponses que vous pourrez me faire. En vous remerciant

Julien B. »

 Acte II. N’ayant pas reçu de réponse, l’auditeur récidive, le 10 février 2005 :

« Il y a une semaine, je vous ai écrit un mail concernant des questions que je me posais et qui avaient été posées à l’antenne lors du 7-9 du 3 février 2005. Je conçois que la réponse ne soit pas immédiate, mais serait-il possible de savoir si une réponse viendra ?
Merci
Julien
P.S. Je mets ci-dessous le message que j’avais posté [...] »

  Intermède. Le jour même, réponse de France Inter :

« Bonjour,

« Merci de l’intérêt que vous portez à nos programmes. Nous avons bien reçu
votre message et l’avons transmis à Pierre Weill.
Cordialement,
Pauline »

 Acte III. Aucune réponse ne lui étant parvenue, l’auditeur insiste. Le 22 février 2005, il écrit :

« Bonjour,

Je m’excuse par avance d’insister auprès de vous. J’ai donc envoyé les messages ci-dessous il y a maintenant presque 2 semaines, et je n’ai toujours pas eu de réponse. Je ne suis pas particulièrement pressé, mais je souhaiterais réellement savoir si j’aurais un jour une réponse aux trois questions posées (voir ci-dessous). Ces questions ne sont pas des élucubrations personnelles, elles ont été posées à l’antenne et je pense qu’elles font réellement partie des problèmes que l’on peut soulever concernant la forme de l’information qui nous est "distribuée". Je n’ai pas, en effet, de légitimité particulière à poser ces questions, si ce n’est celle d’être un citoyen et un auditeur de France Inter. Je pense qu’une grande chaîne de radio publique doit être à l’écoute du public précisément. France Inter, dans de nombreux programmes, a décidé de donner une large parole aux auditeurs ("7-9", "Alter Ego", "Là-bas si j’y suis", "Téléphone sonne"), ce qui est très louable et qui permet de renouveler les locuteurs et donc de donner un souffle d’air frais au débat public. Cette politique d’ouverture aux auditeurs n’est réelle que si les questions posées par les auditeurs à la station peuvent trouver des réponses. C’est pourquoi je me permets encore une fois de demander à M. Pierre Weil, par votre intermédiaire, s’il a l’intention (lui ou un autre) d’apporter une réponse aux trois points que j’ai soulevé dans mes messages précédents.

En vous félicitant encore pour la qualité générale des programmes, je vous adresse mes meilleures salutations.

Julien B.

P.S. Je m’excuse de la faute d’orthographe que j’ai commise sur le nom de M. Weil. »

 Epilogue. La réponse tant attendue arrive le 24 février 2005, signée Pierre Weil :

« Je réponds à vos questions et vous remercie de votre fidélité à France Inter.

1) J’ai cité les chiffres donnés par l’opposition municipale. Mr. Delanoe a répondu. Le débat reste ouvert et c’est une bonne chose.

[Rappel : il s’agissait de savoir pour quoi Pierre Weil ne s’était pas renseigné sur la véracité des chiffres.]

2) Les cours d’une grande place financière font partie de l’actualité économique. Rien de choquant à mentionner le cours de la bourse de Tokyo, juste après la chronique économique du matin.

[Rappel : la question était de savoir « pourquoi on donne chaque matin l’indice nikkaï qui n’intéresse personne, car les personnes que ça intéresse n’attendent pas France Inter pour se renseigner, et pourquoi, par exemple, on ne donne pas chaque matin le nombre de SDF. »]

3) Jean-Marc Sylvestre est un journaliste économique. Il analyse et explique chaque matin une actualité économique qui n’est pas toujours facile à comprendre.

[Rappel : la question était de savoir pourquoi Jean-Marc Sylvestre, chroniqueur libéral présent chaque jour, n’était contredit qu’une fois pas semaine (par Bernard Maris).]

Je n’ai pas d’autres commentaires à faire.

[Nous non plus...]

Pierre Weil ».

(Acrimed).

 
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Notes

[1En gras : souligné par nous.

[3Voir notre rubrique Sexisme et journalisme (note d’Acrimed).

[4Hondelatte déclare dans un long entretien avec Paris Match (10/3/05) que " les modalités de (son) départ ont été arrêtées trois jours après (son) retrait de l’antenne. On s’est mis d’accord sur une somme, tout de suite. " Or, Hondelatte a quitté son poste le 28 janvier, mais c’est seulement le 25 février que la direction de la chaîne elle-même annonce officiellement, dans un communiqué, être parvenue à un accord financier avec l’ex-présentateur du JT. Près d’un mois donc, pendant lequel de multiples " indiscrétions " dans la presse retracent l’évolution de la négociation financière (lire Lu, vu, entendu : « Jours agités dans le microcosme »). Mais, dans les quatre pages, bien tassées, que Paris Match consacre à Hondelatte, l’hebdomadaire " oublie " de le relancer sur cette contradiction... (note d’Acrimed, 14 mars 05.).

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