Un Américain bien tranquille (The Quiet American)
1958 / États-Unis / Figaro Inc. et United Artists / 120’ / Drame
Réalisation : Joseph L. Mankiewicz
Scénario : Joseph L. Mankiewicz (adapté du roman de Graham Greene) / Photographie : Robert Krasker / Montage : William Hornbeck / Musique : Mario Nascimbene / Distribution : Audie Murphy (Stephen Pyle), Michael Redgrave (Thomas Fowler), Claude Dauphin (Vigot), Giorgia Moll (Phuong), Bruce Cabot (Bill Granger), Fred Sadoff (Domínguez), Kerima (la sœur de Phuong)...
Résumé : À Saïgon, en pleine guerre d’Indochine, on découvre le cadavre d’un citoyen américain, Stephen Pyle. L’inspecteur Vigot soupçonne le journaliste anglais Thomas Fowler, qui avait rencontré Pyle deux mois auparavant. Nous remontons dans le temps pour découvrir les événements qui ont mené à la mort de l’Américain. Pyle, un jeune idéaliste, prétendant être représentant de commerce, est tombé amoureux de Phong, la jeune compagne indochinoise de Fawler, un homme d’âge mûr. Plus tard, Pyle sauve la vie du journaliste britannique en l’aidant à échapper à une patrouille communiste. Fowler éprouve de la sympathie pour le jeune Américain mais il développe des doutes quant à la véritable raison de sa présence en Indochine et surtout, il refuse de perdre Phuong, qui est attirée par Pyle. La jalousie et le soupçon l’amènent à enquêter sur les activités de l’Américain, qui est impliqué dans des attentats commis à Saïgon.
Un Américain bien tranquille (The Quiet American)
2002 (2003 en France) / France, États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne et Australie / Internationale Medien und Film GmbH & Co. 2. Produktions KG, Intermedia Films, Mirage Enterprises, Pacifica Film et Saga / 120’ / Drame
Réalisation : Phillip Noyce
Scénario : Christopher Hampton et Robert Schenkkan (adapté du roman de Graham Greene) / Photographie : Christopher Doyle / Montage : John Scott / Musique : Craig Armstrong / Distribution : Michael Caine (Thomas Fowler), Brendan Fraser (Alden Pyle), Rade Serbedzija (Vigot), Do Thi Hai Yen (Phuong), Tzi Ma (Hinh), Robert Stanton (Joe Tunney), Holmes Osborne (Bill Granger)...
Résumé : Saïgon, 1952, une ville magnifique, exotique et mystérieuse prise dans la guerre de libération contre la présence coloniale française. Jeune Américain chargé d’une mission humanitaire, Alden Pyle débarque au plus fort de la résistance vietnamienne. Désireux de venir en aide à la population locale et de connaître le pays, il sympathise avec le correspondant du London Times, Thomas Fowler, un homme d’âge mûr pour qui le Vietnam n’a plus de secret. Mais il est bientôt attiré par Phuong, la jeune maîtresse vietnamienne de ce dernier. Les trois personnages, pris au piège d’un triangle amoureux explosif, iront de révélations en coups de théâtre. Les apparences sont trompeuses, Alden Pyle n’est pas celui qu’il prétend être.
Un après-midi de chien (Dog Day Afternoon)
1975 (1976 en France) / États-Unis / Artists Entertainment Complex / 125’ (130’ en France) / Policier
Réalisation : Sidney Lumet
Scénario : Frank Pierson (adapté de l’article de P.F. Kluge et Thomas Moore) / Photographie : Victor J. Kemper / Montage : Dede Allen / Distribution : Al Pacino (Sonny Wortzik), John Cazale (Sal), Sully Boyar (Mulvaney), Penelope Allen (Sylvia), Charles Durning (Eugene Moretti), James Broderick (Sheldon), Chris Sarandon (Leon Shermer)…
Résumé : À Brooklyn aux États-Unis, dans les années 1970, Sonny Wortzik et ses deux complices braquent une banque pour financer l’opération qui permettra au petit ami de Sonny de changer de sexe. Le braquage est un échec complet : l’un des complices a pris la fuite et les caisses sont quasiment vides. Les gangsters amateurs finissent donc par prendre les employés de la banque en otage. Bientôt, la banque est cernée par la police, mais les journalistes et la foule sont également de la partie. Sonny négocie un avion pour quitter le pays en échange de la sécurité des otages, mais la télévision a déjà fait de l’événement un spectacle, et la foule prend partie pour lui contre la police. Même s’il est un temps flatté par l’importance qu’on lui accorde, il se rend compte du rôle que les médias veulent lui faire jouer et il finit par leur faire entendre sa vision des faits.
Un cœur invaincu (A Mighty Heart)
2007 / États-Unis et Royaume-Uni / Paramount Vantage, Plan B Entertainment et Revolution Films / 108’ / Drame, biographie
Réalisation : Michael Winterbottom
Scénario : John Orloff, Michael Winterbottom et Laurence Coriat (adapté du livre de Mariane Pearl) / Photographie : Marcel Zyskind / Montage : Peter Christelis / Musique : Harry Escott et Molly Nyman / Distribution : Dan Futterman (Daniel « Danny » Pearl), Angelina Jolie (Mariane Pearl), Archie Panjabi (Asra Q. Nomani), Mohammed Afzal (Shabbir), Mushtaq Khan (le chauffeur de taxi), Will Patton (Randall Bennett)…
Résumé : En janvier 2002, le reporter du Wall Street Journal Daniel Pearl enquête au Pakistan sur un dénommé Richard Reid, activiste et vendeur d’armes. Dans ce cadre, il a pris rendez-vous dans un café, avec toutes les précautions qui s’imposent, pour une interview avec un dignitaire islamiste fondamentaliste. Le lendemain, il doit prendre le vol Karachi-Dubaï avec sa femme Mariane, qui attend un enfant de lui. Mais comme Daniel ne revient pas de son rendez-vous, Mariane lance un avis de recherche. À ce stade, personne ne sait qui détient son mari, ni pourquoi. Elle va mener son enquête, qui sera également son combat.
Un homme dans la foule (A Face In The Crowd)
1957 / États-Unis / Newtown Productions / 125’ (126’ en France) / Comédie dramatique
Réalisation : Elia Kazan
Scénario : Budd Schulberg / Photographie : Gayne Rescher et Harry Stradling Sr. / Montage : Gene Milford / Musique : Tom Glazer / Distribution : Patricia Neal (Marcia Jeffries), Andy Griffith (Larry "Lonesome" Rhodes), Walter Matthau (Mel Miller), Anthony Franciosa (Joey DePalma), Lee Remick (Betty Lou Fleckum)…
Résumé : Lorsque Marcia Jeffries, productrice de l’émission « Un homme dans la foule », tombe sous le charme de Larry « Lonesome » Rhodes, il n’est encore qu’un simple guitariste vagabond. Mais l’émission lui sert de tremplin dans les médias, où la carrière qu’il entame est fulgurante. Il devient un animateur vedette de télévision et une figure incontournable de la politique. Effrayée par le monstre de cynisme qu’elle a engendré, Marcia profite alors de l’occasion qui lui est offerte de dévoiler au grand jour le mépris que Larry peut avoir pour son public qui l’adule.
Un linceul n’a pas de poches
1974 / France / Balzac Films et Société Nouvelle Prodis / 125’ / Policier
Réalisation : Jean-Pierre Mocky
Scénario : Jean-Pierre Mocky et Alain Moury (adapté du roman de Horace McCoy) / Photographie : Marcel Weiss / Montage : Marie-Louise Barberot / Musique : Paul De Senneville et Olivier Toussaint / Distribution : Jean-Pierre Mocky (Michel Dolanes), Michel Galabru (Thomas), Jean-Pierre Marielle (le docteur Carlille), Michel Serrault (Justin Blesch), Myriam Mézières (Mira Barnowski), Jean Carmet (comissaire Bude), Michel Constantin (Culli), Daniel Gélin (Laurence)…
Résumé : Ne supportant pas les compromissions, un journaliste intègre, Michel Dolannes, démissionne et décide de fonder son propre journal pour le mettre au service de la vérité et de la justice, contre les corrompus. Il met au jour de nombreux scandales avant d’être éliminé lorsqu’il s’attaquera au maire de la ville qui entretient une liaison pédophile avec un garçon de 14 ans, le jeune fils d’un syndicaliste.
Under Fire
1983 (1984 en France) / États-Unis / Lion’s Gate et Under Fire Associates / 128’ / Drame, guerre
Réalisation : Roger Spottiswoode
Scénario : Clayton Frohman et Ron Shelton / Photographie : John Alcott / Montage : Mark Conte / Musique : Jerry Goldsmith / Distribution : Nick Nolte (Russell Price), Gene Hackman (Alex Grazier), Joanna Cassidy (Claire), Ed Harris (Oates), Alma Martinez (Isela)…
Résumé : Photographe vedette, Russell Price s’en va couvrir la guerre civile opposant les rebelles sandinistes au président Anastasio Somoza au Nicaragua en 1979. Confronté à la brutalité de l’armée envers le peuple, il lui est difficile de préserver sa neutralité ordinaire. Aussi, lorsque les sandinistes l’approchent pour qu’il prenne en photo leur leader Rafael qui a pourtant été tué, afin de déstabiliser le gouvernement en faisant croire qu’il est encore en vie, Russell Price hésite un temps. Sa déontologie est remise en question et sa réputation risque d’en pâtir, mais il finit par accepter d’aider la résistance au moyen de cette photo truquée, espérant par là contribuer à faire cesser le massacre dont il est le témoin. Mais après publication de cette photo, le régime s’interroge sur la neutralité de la presse, et Russell Price et ses amis Claire et Alex Grazier sont pris dans le tourbillon des événements et doivent se cacher aux yeux de l’armée. Bientôt, Alex est arrêté puis abattu, mais Russell parvient à photographier l’assassinat et à en faire publier les photos. Le gouvernement américain cesse alors de soutenir le président Somoza comme il le faisait jusqu’à présent, contraignant le président à fuir le pays. Les Sandinistes finissent par entrer en vainqueurs à Managua, la capitale.
La Valse des pantins (The King of Comedy)
1982 (1983 en France) / États-Unis / Embassy International Pictures et Twentieth Century Fox Film Corporation / 110’ / Comédie dramatique
Réalisation : Martin Scorsese
Scénario : Paul D. Zimmerman / Photographie : Fred Schuler / Montage : Thelma Schoonmaker / Musique : Robbie Robertson / Distribution : Robert De Niro (Robert Pupkin) , Jerry Lewis (Jerry Langford), Diahnne Abbott (Riata Keane), Sandra Bernhard (Masha), Shelley Hack (Cathy Long), Ed Herlihy (Ed Herlihy), Lou Brown (le chef d’orchestre)...
Résumé : Rupert Pupkin est un comédien de stand-up minable, dont les ambitions sont bien démesurées en regard de son talent. Lorsqu’il croise la route de Jerry Langford, un célèbre comique animant une émission de télé, il est persuadé que son heure de gloire est venue, et il se met à s’inventer une vie où il travaille aux côtés de son ami Langford. Il tente désespérément d’être invité dans son émission, mais il en est sans cesse écarté par le personnel, puis par Langford lui-même. Alors, puisque l’approche directe ne porte pas ses fruits, Pupkin va kidnapper Langford avec l’aide de Masha, une groupie qui suit les moindres faits et gestes de la vedette. En guise de rançon, Rupert Pupkin va exiger qu’on lui confie l’introduction de l’émission de Jerry Langford du jour.
Vengeance secrète (The Fourth Angel)
2001 / Canada et Royaume-Uni / New Legend Media, Norstar Entertainment, Rafford Films et Sky Pictures / 96’ (92’ pour la France) / Drame, action
Réalisation : John Irvin
Scénario : Allan Scott (adapté du roman de Robin Hunter) / Photographie : Mike Molloy / Montage : Nick Rotundo / Musique : Paul J. Zaza / Distribution : Jeremy Irons (Jack Elgin), Forest Whitaker (Jules Bernard), Jason Priestley (Davidson), Briony Glassco (Maria), Charlotte Rampling (Kate Stockton), Lois Maxwell (Olivia)…
Résumé : Le journaliste Jack Elgin se rend avec sa famille en Inde, où il doit interviewer le Premier ministre pour le compte du journal The Economist. Mais l’avion est détourné par le mouvement terroriste du 15 août, jusqu’alors inconnu, et la prise d’otages tourne au bain de sang. Parmi les victimes se trouvent la femme et la fille de Jack, qui est parvenu à sauver son fils Andrew. Pour honorer leurs mémoires, il va se battre pour faire éclater la vérité. En effet, les autorités occidentales ne semblent pas décidées à rendre justice dans cette affaire. Jack va donc mettre à profit son carnet d’adresses et ses talents d’enquêteur pour parvenir à ses fins. Il sera aidé dans son combat par un diplomate américain et une amie journaliste, tandis qu’un agent du FBI s’intéressera à Jack dans le cadre de l’enquête qu’il mène sur cette affaire.
Velvet Goldmine
1998 / États-Unis et Royaume-Uni / Channel Four Films, Goldwyn Films, Killer Films, Miramax Films, Newmarket Capital Group, Single Cell Pictures et Zenith Entertainment / 124’ / Drame, musique
Réalisation : Todd Haynes
Scénario : Todd Haynes et James Lyons / Photographie : Maryse Alberti / Montage : James Lyons / Musique : Carter Burwell et Craig Wedren / Distribution : Ewan McGregor (Curt Wild), Jonathan Rhys Meyers (Brian Slade), Christian Bale (Arthur Stuart), Toni Collette (Mandy Slade), Eddie Izzard (Jerry Devine), Emily Woof (Shannon)…
Résumé : En 1984, Arthur Stuart, un journaliste britannique expatrié à New York, enquête pour le compte d’un périodique américain sur la carrière de Brian Slade, star du glam rock des années 1970, très influencée à ses débuts par le chanteur de rock américain Curt Wild. À l’instar de Ziggy Stardus, l’alter ego de David Bowie, Brian Slade ne parvenait plus à assumer le personnage qu’il s’était créé ; aussi, il décida de mettre en scène son propre meurtre. Mais la star tombera vite dans l’oubli lorsque ses fans réaliseront qu’il ne s’agissait que d’un coup médiatique. Le journaliste, qui comptait alors parmi les fans, va ainsi devoir se pencher sur son propre passé.
Vidéodrome (Videodrome)
1983 (1984 en France) / Canada / Canadian Film Development Corporation, Famous Players, Filmplan International, Guardian Trust Company et Victor Solnicki Productions / 89’ / Drame, fantastique
Réalisation : David Cronenberg
Scénario : David Cronenberg / Photographie : Mark Irwin / Montage : Ronald Sanders / Musique : Howard Shore / Distribution : James Woods (Max Renn), Sonja Smits (Bianca O’Blivion), Deborah Harry (Nicki Brand), Peter Dvorsky (Harlan), Les Carlson (Barry Convex), Jack Creley (Brian O’Blivion), Lynne Gorman (Masha)...
Résumé : Max Renn dirige une petite chaîne de télévision diffusant des programmes érotiques. Sa vie est dévouée à la télévision, il ne pense qu’à ça. Un jour il tombe par hasard sur un mystérieux programme-pirate dénommé « Vidéodrome », qui met en scène des tortures et des sévices sexuels. Son visionnage provoque peu à peu des hallucinations et des altérations physiques. La petite amie de Max, Nicki Brand, fascinée par l’émission, décide de participer au casting. Max est progressivement entraîné dans les rets de la vaste conspiration qui utilise Vidéodrome comme arme. La frontière entre réalité et univers télévisuel devient de plus en plus mince et la folie guette.
Violences à Park Row (Park Row)
1952 (1971 en France) / États-Unis / Samuel Fuller Productions / 83’ / Drame, thriller
Réalisation : Samuel Fuller
Scénario : Samuel Fuller / Photographie : John L. Russell / Montage : Philip Cahn / Musique : Paul Dunlap / Distribution : Gene Evans (Phineas Mitchell), Mary Welch (Charity Hackett), Bela Kovacs (Ottmar Mergenthaler), Herbert Heyes (Josiah Davenport), Tina Pine (Jenny O’Rourke), George O’Hanlon (Steve Brodie), J.M. Kerrigan (Dan O’Rourke)...
Résumé : En 1886, à New York, dans le quartier de Park Row : un grave conflit oppose Phineas Mitchell, rédacteur au Star, à la directrice de ce journal, Charity Hackett. Mitchell est congédié par celle-ci avec d’autres collègues. Mais, aidé par un vieil imprimeur, Mergenthaler, il fonde avec quelques amis son propre journal, The Globe. Le succès de ce concurrent, retirant des lecteurs au Star, incite certains membres de l’équipe à commettre des actes de sabotage, à l’insu de leur directrice. Ainsi détruisent-ils la linotype de Mergenthaler. Le Globe ne poursuit pas moins son développement, multipliant les points de vente dans la ville. La rivalité tourne à des confrontations de plus en plus violentes.
Votez McKay (The Candidate)
1971 (1972 en France) / États-Unis / Redford-Ritchie Productions / 110’ / Drame
Réalisation : Michael Ritchie
Scénario : Jeremy Larner / Photographie : Victor J. Kemper et John Korty / Montage : Robert Estrin et Richard A. Harris / Musique : John Rubinstein / Distribution : Robert Redford (Bill McKay), Peter Boyle (Marvin Lucas), Melvyn Douglas (John J. McKay), Don Porter (Crocker Jarmon), Allen Garfield (Klein), Tom Dahlgren (le pilote)…
Résumé : Bill McKay est un avocat californien idéaliste, qui défend les hommes de peu. Contrairement à son père, il n’a jamais eu d’ambitions politiques, mais son charisme et son intégrité séduisent le parti démocrate, qui à son tour le persuade de porter ses couleurs aux prochaines élections sénatoriales qu’ils croient perdues d’avance. Face au titulaire qui s’annonce indétrônable, il est entendu que Bill McKay a la latitude de mener campagne comme il l’entend. Mais une fois la course à la victoire électorale engagée, les choses prennent une autre tournure : les sondages donnent en effet McKay perdant ; et s’il s’attendait certes à perdre, il ne s’attendait pas à être humilié pour autant, comme les chiffres annoncés le prédisent. Il cède alors à la tentation de mettre de l’eau dans son vin, pour récolter plus de voix. Cette tactique s’avère fructueuse.
What Goes Up
2009 (ce film n’est pas sorti dans les salles en France) / États-Unis / Nasser Entertainment Group, Insight Film Studios, Station3 et Three Kings Productions / 104’ / Drame
Réalisation : Jonathan Glatzer
Scénario : Jonathan Glatzer et Robert Lawson / Photographie : Antonio Calvache / Montage : Jennifer Godin et Fenster Itski / Musique : Roddy Bottum / Distribution : Steve Coogan (Campbell Babbitt), Hilary Duff (Lucy Diamond), Olivia Thirlby (Tess Sullivan), Josh Peck (Jim Lement), Molly Shannon (Penelope Little), Molly Price (Donna Arbetter)…
Résumé : En janvier 1986, le New York World envoie son journaliste Campbell Babbitt à Concord, dans le New Hampshire, où l’on s’apprête à célébrer le prochain lancement de la navette Challenger – une enseignante de la ville fait en effet partie de l’équipage. Le jour de son arrivée, Campbell cherche à contacter une vieille connaissance, mais il apprend que cet ami professeur vient tout juste de se suicider. Le journaliste va alors profiter du retard de lancement de la navette pour aller à la rencontre d’un groupe de ses étudiants. Il a l’espoir de découvrir ce qui a pu conduire son ami au suicide, mais aussi de pouvoir en tirer un portrait à sa gloire, à travers le rôle déterminant que le professeur aurait pu avoir sur ses protégés.
Windigo
1994 (ce film n’est pas sorti dans les salles en France) / Canada / Nicole Robert et Lux Film / 97’ / Fiction
Réalisation : Robert Morin
Scénario : Robert Morin (adapté du roman de Joseph Conrad) / Photographie : James Gray et Jean-Pierre St-Louis / Montage : Lorraine Dufour / Musique : Bertrand Chénier / Distribution : Donald Morin (Eddy Laroche), Guy Nadon (Jean Fontaine), Nathalie Coupal (Christine Bastien), Michel Laperrière (Yves St-Hilaire), Richard Kisbatish (Conrad Volant)…
Résumé : Dans une île du Nord québécois, les Indiens Akis proclament l’indépendance de leur nation. Leur leader Eddy Laroche n’est disposé à négocier avec le gouvernement qu’à la condition que les médias soient présents, avec l’espoir de donner ainsi plus de poids aux revendications de son peuple. Le journaliste Jean Fontaine est alors dépêché sur place pour couvrir cette lutte. Lui qui y allait à contrecœur est troublé par ce qu’il découvre au sujet des Akis.
Zodiac
2007 / États-Unis / Paramount Pictures et Warner Bros. / 157’ / Thriller
Réalisation : David Fincher
Scénario : James Vanderbilt (adapté du livre de Robert Graysmith) / Photographie : Harris Savides / Montage : Angus Wall / Musique : David Shire / Distribution : Jake Gyllenhaal (Robert Graysmith), Mark Ruffalo (l’inspecteur David Toschi), Anthony Edwards (l’inspecteur William Armstrong), Robert Downey Jr. (Paul Avery), Brian Cox (Melvin Belli), John Carroll Lynch (Arthur Leigh Allen)…
Résumé : À la fin des années 1960, le tueur en série surnommé Zodiac sévit dans la baie de San Francisco. Un mois après avoir perpétré son deuxième meurtre, il commence à adresser des messages codés au San Francisco Chronicle, pour narguer à la fois la police et la presse. Le jeune Robert Graysmith a beau s’intéresser de très près au sujet, ses collègues, notamment le spécialiste des affaires criminelles Paul Avery, n’entendent pas partager avec lui les informations dont ils disposent. À leurs yeux, il n’est jamais qu’un dessinateur de presse. Mais lorsqu’il parvient à décrypter partiellement les messages du Zodiac, Avery change d’avis et prend Graysmith sous son aile.
Titres précédents :