Comme de nombreuses associations, ACRIMED ne vit que grâce à l’activité bénévole et aux cotisations de ses adhérent-e-s, ainsi que par les dons de celles et ceux qui nous soutiennent. Pas de publicité, même clandestine ! Pas d’abonnements, même modestes, à notre site ! Pas de trésor caché ou de subvention, même occulte ! Les mécènes nous ignorent ! Les exilés fiscaux nous méprisent ! …
… Et nous parvenons malgré tout à couvrir nos dépenses courantes : le loyer d’un local modeste (mais à Paris au tarif du marché), l’électricité et le téléphone. Des moyens techniques réduits au minimum. Des frais de réunion qui, pour nos repas, grâce à la contribution gratuite de nos pâtissiers, n’atteignent pas les tarifs des dîners du « Siècle » !
Notre luxe : l’emploi d’un secrétaire administratif à plein temps que nous payons raisonnablement, c’est-à-dire au-dessus du niveau du Smic, mais sans exonération de cotisations patronales. Sans lui, pas d’association qui tienne à peu près debout, pas de listes d’information (notre Magazine électronique), pas de gestion des envois de notre magazine imprimé, etc.
Notre atout : un magazine imprimé dont le financement est équilibré pour la première année. Pourvu que ça dure ! Cela dépend de vos abonnements, surtout si nous voulons modifier sa pagination et sa périodicité et envisager sa diffusion en kiosques.
Évitons de dramatiser. Si la situation était dramatique nous vous le dirions. Mais…
… Mais nous avons impérativement besoin d’un second salarié : un secrétaire de rédaction à plein temps, pour coordonner l’observation des médias, la rédaction des articles pour le site, l’enrichissement de son contenu, la préparation du magazine, etc. Pour cela,
Qui n’avance pas recule. À défaut d’un secrétaire de rédaction permanent, la rédaction elle-même, composée de contributeurs bénévoles et, par conséquent intermittents, ne peut pas fonctionner. À défaut des 40 000 euros dont nous avons besoin, le développement de notre association sera entravé, la confiance que nous accordent nos lecteurs (dont témoignent l’audience croissante de notre site et de notre magazine) sera déçue et le succès des Nouveaux Chiens de garde ne connaîtra pas, parmi les suites qu’il mérite, celles qui dépendent de nous.
N’attendez pas une réforme fiscale, en espérant qu’elle vous permettra de bénéficier des ressources supplémentaires !
… Faites un don !
… Et mieux encore :
Pour simplement nous soutenir et être informés ou pour vous impliquer davantage
Patrick Champagne, Yannick Kergoat et Henri Maler
Pour le collectif d’animation d’Acrimed