Accueil > (...) > Médiacritiques

Médiacritique(s) n°12 (juillet-septembre 2014) : « Misères du journalisme et jeux de l’été »

par Acrimed,

Le n° 12 du magazine trimestriel d’Acrimed, sortira de l’imprimerie le 23 juin 2014. Depuis le 16 juin 2014, les nouvelles commandes et les nouveaux abonnements concernent ce numéro.



Comme les précédents, ce numéro ne sera pas diffusé dans les kiosques et ne sera disponible que dans quelques librairies. Par La Poste et par nos soins, chaque numéro isolé ne vous coûtera que 5 euros, frais de port inclus. L’abonnement pour un an et 4 numéros ? 15 euros tout compris. Commandes et abonnements : c’est ici.



Le n° 12 sera envoyé le 24 juin 2014, grâce à un envoi groupé et moins onéreux pour nous : vous contribuerez ainsi à l’accroissement de nos improbables bénéfices. Mais soyez patients avec La Poste… En attendant, nous vous offrons d’ores et déjà, en exclusivité mondiale, la « Une », le sommaire et l’édito.

Dans cette livraison estivale, pas de dossier central, mais un assortiment du pire de la production médiatique et… du meilleur d’Acrimed – avec notamment de nouveaux jeux de l’été (p. 19-23) !

Pour commencer, nous ne pouvions vous priver de la magnifique démonstration, par l’absurde, de la pertinence du film Les Nouveaux Chiens de garde, débattu… au beau milieu d’un chenil après sa diffusion sur La Chaîne parlementaire (p. 4-6) !

À l’issue des tristes rendez-vous électoraux dont nous sortons, nous vous proposons ensuite quelques illustrations des dérives du journalisme politique : l’instrumentalisation sans scrupule des sondages d’opinion (p. 7), le recours pathétique à des charlatans pour « expertiser » le « langage non verbal » des candidats aux élections municipales (p. 9) et les pitreries navrantes de Jean- Pierre Pernaut lorsqu’il se penche (à son corps défendant) sur les élections européennes (p. 8)

Une fois n’est pas coutume, nous nous sommes également penchés sur deux émissions phares de la « télé-poubelle » : dans des genres très différents, « 90’Enquêtes » (p. 11-13) et « Confessions intimes » (p. 14-16) exploitent la misère humaine pour que le groupe TF1 puisse se gaver de recettes publicitaires sur la TNT.

La presse écrite n’est pas en reste dans cette galerie des horreurs médiatiques, avec une petite recension des manifestations consternantes de servilité de divers titres à l’égard des annonceurs, comme de leurs propriétaires (p. 17).

On le voit, la critique des médias – du moins celle d’Acrimed – n’a jamais été aussi nécessaire… Pourtant, comme vous en avons fait part, l’association menace de se trouver dans une situation très périlleuse d’ici quelques mois et c’est pourquoi nous avons été contraints de lancer un appel à souscription de 40 000 euros... D’ailleurs, en passant par notre boutique pour commander ce numéro ou pour vous abonner, vous pouvez compléter votre commande par un don exonéré à hauteur de 66% sur vos impôts 2015...

 
Acrimed est une association qui tient à son indépendance. Nous ne recourons ni à la publicité ni aux subventions. Vous pouvez nous soutenir en faisant un don ou en adhérant à l’association.

A la une

Portraits de journalistes dans Libération : entre-soi et complaisance

Starification et dépolitisation.