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« Jeudi d’Acrimed » : « Faut-il jeter les JT ? » Avec William Irigoyen et Yannick Kergoat, le 18 décembre 2014

« Misère(s) du JT » : tel est le thème central du n° 13 de Médiacritique(s), le magazine trimestriel d’Acrimed, paru en octobre 2014 et toujours en vente.

C’est aussi le thème d’une (courte) rubrique de notre site.

C’est enfin l’objet principal de l’essai récent de William Irigoyen Jeter le JT – Réfléchir au 20 heures est-il possible ?, dont nous avons rendu compte ici-même.

Faut-il jeter les JT ? Peuvent-ils se transformer ? À quelles conditions et comment ? Acrimed vous invite à en débattre avec William Irigoyen (journaliste) et Yannick Kergoat (Acrimed)



« Jeudi d’Acrimed »
Jeudi 18 décembre 2014 à 19 heures
à la Bourse du travail de Paris
3, rue du Château d’Eau, Paris 10e




Entrée libre et gratuite





En guise de présentation


Rendez-vous ritualisés de millions de téléspectateurs, les Journaux télévisés - et, en particulier, les grandes messes du soir - ont-ils encore une place dans le nouveau paysage médiatique ? S’ils sont abandonnés, voire méprisés, par nombre d’usagers qui leur préfèrent, à tort ou à raison, d’autres sources l’information, leur audience ne saurait être négligée : pour peu, du moins, que l’on quitte le point de vue de l’usager récalcitrant, pour adopter celui d’un acteur collectif préoccupé de critique et de transformation des médias et, particulièrement, de ceux qui sont les plus fréquentés.

Quelle place donc les JT peuvent-il occuper face à l’abondance des journaux gratuits, face à la concurrence des chaines en continu et face à la prolifération d’informations et de commentaires sur Internet ? Le JT sont-ils appelés à dépérir, voire à disparaître ? Et, sinon, peuvent-ils se transformer et comment ?

Pour tenter de répondre à ces questions, il est indispensable de proposer un diagnostic : sur la fabrication des JT, sur leur mise en scène, sur les normes et les formes des « sujets » et des séquences qui les rythment, sur le rôle qu’ils accordent aux images, sur la hiérarchie des informations qu’ils proposent, sur les explications qu’ils fournissent. Etc.

 
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