Accueil > Critiques > (...) > Journalismes de microcosme

Cartes de presse : la rebellitude de Pascale Clark et Patrick Cohen

par Denis Souchon, Henri Maler,

La grévette médiatique de Pascale Clark, privée de sa carte de presse, suivie du coup de ciseaux solidaire de Patrick Cohen, nous ont offert une farce médiatique qui mériterait à peine qu’on s’y attarde si elle ne témoignait d’une appropriation narcissique de l’antenne de France Inter par deux intouchables arrogants, solidaires… d’eux-mêmes.


La grévette de Pascale Clark

Lundi 9 mars 2015 la productrice Pascale Clark débute ainsi la présentation de « A’live » sur France Inter [1] :

« Ce soir, je vais vous parler de ma vie, de ma vie de journaliste professionnelle. Trente ans de carte de presse numéro 53.216. Partout je l’ai obtenue. CVS, 95.2, Europe 2, France Info, Europe 1, Oui FM, Canal+, RTL, France Inter [bizarrement Pascale Clark omet de signaler ses prestations dans "Arrêt sur images" sur France 5].

Mais ça c’était avant, avant samedi matin quand le facteur a sonné. Lettre recommandée avec accusé de réception. J’ouvre, c’est un courrier de la CCIJP, Commission de La Carte d’Identité des Journalistes Professionnels, et là j’ai comme accusé... la déception. [Pascale Clark sait jouer avec les mots.] Pire, bien pire, je résume. La Commission refuse de m’accorder la carte de presse 2015 pour deux raisons :

Un, "A’ live" ne présente pas, écrit-elle, le caractère d’une émission d’information. Je conteste absolument. L’info est la matière première que nous malaxons, soir après soir. […] »

Et de dresser une liste d’exemples avant d’enchaîner :

« Second argument de la commission : vous êtes rémunérée en qualité de productrice déléguée radio sous le statut d’intermittent du spectacle. C’est vrai. Je l’admets, depuis toujours sur Inter, pour le 7/9 d’un été, pour la revue de presse, pour l’émission Tam-tam etc, pour le 7h50, pour les nuits blanches, pour Comme on nous parle. C’est vrai, mais ce n’est pas choisi. Ce statut d’intermittent à mon corps défendant devient donc une double peine. Je suis permittente, ces intermittents permanents qui plombent, on le sait suffisamment, le régime des vrais gens du spectacle.

Alors voilà comme je ne suis pas journaliste, plus, soudainement après trente ans, je m’en voudrais d’usurper tel titre ou telle carte. Ce soir, et peut-être que d’autres suivront, voici DJ Clark. DJ, il paraît qu’on peut exercer sans carte professionnelle. »

Les arguments de la commission de la carte sont-ils fondés ? Ça se discute ! Mais, pour le dire franchement : s’agissant de Pascale Clark, on s’en fout un peu : disposer ou non de la carte de presse ne changera pas grand’ chose à ses conditions de travail. Mais il était conforme aux conditions (actuelles et discutables) d’attribution de la carte de journaliste de la refuser à une intermittente du spectacle.

Pascale Clark n’a pas choisi, nous dit-elle, ce statut. Mais on ne lui connaît aucune grève ou grévette contre l’abus de ce statut : il est vrai qu’il est plus aisé de protester contre la commission de la carte que contre son employeur quand on ne cesse de lui prêter allégeance. Pourtant, la précarité de nombre de salariés de France Inter et d’ailleurs, le recours par leurs employeurs au statut d’intermittent du spectacle, la modification du régime des intermittents mériteraient une vraie mobilisation… et non la capture de l’antenne par une bien lotie, réagissant ainsi à une blessure narcissique.

Sa petite grévette n’a eu aucune autre conséquence que de priver les auditeurs d’un sujet qui devait ce jour-là être consacré… au Secours populaire. Indécence quand tu nous tiens !

Une grave question se pose, malgré tout : la petite blessure d’orgueil (de Pascale Clark) deviendra-t-elle une grande cause (du peuple) ? On a quelques raisons d’en douter…

Comment ne pas être surpris de voir Pascale Clark se transformer, dans le seul intérêt de Clark Pascale, en Louise Michel des intermittents, alors qu’elle n’a jamais protesté, à notre connaissance, contre le statut d’intermittente du spectacle que son employeur lui a frauduleusement réservé et qu’on ne lui connait aucune solidarité active et publique avec les intermittents et précaires ?

Comment ne pas être admiratif devant ce mouvement de révolte, quand on se souvient de l’empathie dont elle a su faire preuve avec les salariés de Goodyear, comme on peut le lire ici même (« L’interrogatoire d’un syndicaliste de Goodyear par Pascale Clark ») ?

Comment ne pas se souvenir de l’admirable solidarité dont elle a su faire preuve à l’égard de ses patrons quand ils furent nommés ? En témoigne ce petit rappel extrait d’un article précédent (« Les autocrates des radios publiques : l’exemple de France Inter »). En septembre 2009, Pascale Clark revient sur France Inter après en être partie en 2004. Or…

« Elle avait eu le bon goût, depuis 2001, d’inviter à plusieurs reprises Philippe Val [nommé directeur de France Inter en juin 2009] à participer à ses émissions, tant à la radio qu’à la télévision. Elle a su également marquer son indépendance vis-à-vis de Jean-Luc Hees et de Philippe Val en déclarant, en septembre 2009 : "[…] c’est [Jean-Luc Hees] l’homme de la situation. […] l’une de ses particularités, c’est de ne pas avoir de réseaux politiques. […] il n’intrigue pas comme la plupart des gens. […] Je ne sais pas comment le nom de Hees est arrivé aux oreilles de Sarkozy. Mais c’est forcément un bon choix. Où est le problème ? Il faut aussi arrêter le délire... […] Quand on associe Besson, Kouchner et Philippe Val, c’est de la mauvaise foi. Il y a une différence entre entrer dans le gouvernement de Nicolas Sarkozy et diriger une radio. Sarko n’a pas demandé à Jean-Luc Hees ou à Philippe Val de rouler pour lui [2]." »

Comment ne pas se souvenir également de l’admirable solidarité dont elle a su faire preuve avec les évincés de France inter – Stéphane Guillon et Didier Porte, une éviction qu’elle commentait ainsi sur son blog à la date du 3 juillet 2010 : « [...] Nous, gens de radio, sommes des intermittents. Parfois, des émissions s’arrêtent, nul n’est propriétaire, ça m’est arrivé, c’était dans le privé, j’ai pointé. Il est normal qu’un directeur construise une grille, que ne lui reprocherait-on s’il ne faisait rien. […] Il n’est pas très agréable et pas très honnête de tirer à soi la couverture de la liberté, de l’impertinence. Parlez-en à tous ceux qui en font usage sur l’antenne, jour après jour, j’ai la faiblesse de m’y ranger [3]. »

Comment ne pas être impressionnés, quoi que l’on pense de l’orientation politique de la personne interrogée et de ses soutiens, par l’interview très politique, pleine de tact et de respect du candidat à l’élection présidentielle Gérard Schivardi faite par Pascale Clark dans « En Aparté » sur Canal +, le 23 mars 2007 [4] ? Éléments de langage clarkien :

« On a une ½ heure devant nous, il va falloir assurer, Gérard Schivardi. Pour une fois que vous avez la parole. J’ai du mal à dire votre nom, je vais le refaire : Schivardi ! C’est pourtant pas compliqué : Schi - var - di ! Ouais, je vous disais, il va falloir assurer, hein ! […] Il y a un cassoulet. […] Première info, Gérard Schivardi, vous mangez du cassoulet. C’est une nourriture qui tient au corps. […] Vous avez été rasta dans une autre vie ? […] Vous tenez bien l’alcool ? […] Vous n’avez peur de rien ? […] Vous jouez quel poste [au rugby] ? […] Je suis sûre que vous connaissez des chansons italiennes, ce n’est pas possible autrement. […] Il va falloir chanter un petit peu. […] C’est quoi vous votre injure préférée ? […] Est-ce que vous vous êtes déjà battu ? […] Il paraît que les habitants de votre village sont appelés "les courges". […] Si vous êtes élu, le cassoulet devient obligatoire ? »

Une telle maltraitance relève-t-elle encore du journalisme ou du spectacle dont Pascale Clark est, en permanence, une intermittente ?

Une intermittente du spectacle… soutenue par Patrick Cohen.


Les ciseaux de Patrick Cohen

Mardi 10 mars 2015, sur France Inter, l’incontournable Patrick Cohen consacre à l’insurrection clarkienne son billet de 7h43 [5], finement titré, sur le site de France Inter (allusion cryptée à la carte de presse) « Carte de presque ».

Le très subtil commence par une subtile allusion au titre de l’émission de Pascale Clark « A’live » : « Mais qu’est-ce que c’est cette émission qui part en live ». Et il poursuit ainsi la lecture de son tract :

« C’était hier soir sur France Inter, Pascale Clark en mode DJ poussant des disques, puisqu’elle n’est plus journaliste, enfin officiellement : décision de la commission professionnelle de lui retirer ce rectangle en plastique barré de tricolore qu’elle lui avait accordé et renouvelé depuis 30 ans. Plus de carte de presse au double motif qu’elle est rémunérée en qualité de productrice sous le statut d’intermittente du spectacle, c’est vrai, mais ce n’est pas nouveau, et puis surtout "A’live" ne présente pas le caractère d’une émission d’information. Alors là il faut qu’on m’explique : des interviews, des chroniques, des reportages d’actualité avec des invités d’actualité, avec parfois des extraits repris dans cette Matinale. Vous appelez ça comment Mesdames et Messieurs de la commission de la carte ? Des variétés ? Voilà trente ans qu’on fait le même métier avec Pascale Clark : journaliste. Ce qui n’est pas un statut. C’est un métier et on va continuer à faire le même moyennant une petite mise à niveau. Moi c’est 56.728, enfin c’était. Est-ce qu’on va entendre le bruit des ciseaux qui mordent dans le plastique ? Voilà, une carte de presse coupée en deux et qui part à la poubelle. C’est une bonne chose de faite. »

Comme sa consœur, Patrick Cohen entérine le statut d’intermittent du spectacle ou, du moins, omet de protester contre ceux qui l’imposent. Comme sa consœur, Patrick Cohen se soucie soudainement du journalisme précaire… alors que la précarité ne menace vraiment pas la carrière de Pascale Clark. Et il fait sienne la profession de foi de celle-ci qui déclarait en 2002 : «  Je ne pense jamais à ceux qui sont de l’autre côté du poste. » [6]

Mais il pense à haute voix à son propre rôle, avec une susceptibilité de propriétaire.

Un spectre hante, en effet, tout animateur du 7/9 de France Inter : le spectre de la suffisance et de la morgue de qui se croit au centre du (petit) monde (médiatique), que ce soit pour :

 Prendre de haut un responsable politique qui ose critiquer le tenancier (ainsi que nous l’avions relevé) comme Patrick Cohen a cru bon de le faire, le 10 novembre 2014, en guise de réplique à Jean-Luc Mélenchon. Ce dernier avait déclaré le 31 octobre 2014 : « Donc ce n’est pas des matinales. C’est le début de la grand’ messe du libéralisme qui commence avec les émissions du matin. Et alors on nous dit "allez une petite cuiller pour tonton Sarkozy, une petite cuiller pour tata Merkel, une petite cuiller…" et on commence à absorber le catéchisme, mais même pas avec des nuances, quelque chose qui rendrait ça supportable. […] Ce n’est pas tous les mêmes hein. Bon par exemple aller discuter avec Achilli c’est quand même d’un niveau plus élevé que d’aller discuter avec Cohen. C’est moins la propagande quoi. Ça dépend des gens. Bon y’a des gens c’est plaisant, d’autres c’est très désagréable, et je n’hésite pas à leur dire. Je les déteste comme eux ils me détestent ». » Ça se discute ? Ça se discute. Mais pas quand sa majesté Patrick Cohen est en cause : la réplique hautaine lui suffit : « Un cauchemar. Autant alerter les futurs invités de ce 7/9 : ils vont vivre un calvaire. Un supplice dont témoigne Jean-Luc Mélenchon qui a très mal vécu son dernier passage dans la matinale de France Inter début octobre ».

 « Tendre un micro aux auditeurs pour le leur retirer dès qu’ils se l’approprient », une pratique dans laquelle Nicolas Demorand (le prédécesseur de Patrick Cohen) était passé maître. Ce qui avait donné lieu à des moments savoureux. Extrait d’un article précédent :

« L’omniprésence de Demorand dans Inter-Activ’, saupoudrée de suffisance, suscite même chez les auditeurs une certaine mélancolie qui vaut à l’animateur des remarques sarcastiques. Ainsi Ludovic qui demande à Alain Finkielkraut, le 10 janvier [2008] : Ne trouvez-vous pas que Nicolas Demorand parle trop fort : pour certains il brait comme un âne, pour d’autres il braille, j’aimerais avoir votre avis sur ce dossier. » Réponse crispée de Demorand : "Eh bien, Alain Finkielkraut va vous répondre Ludovic. Vous voyez que la démocratie et la transparence sont la règle à France Inter puisque vous pouvez tromper tout un standard pour ensuite m’injurier personnellement. J’imagine que ça fait partie des risques du métier". »

 Se désolidariser d’un chroniqueur intègre comme l’avait fait Stéphane Paoli (le prédécesseur de Nicolas Demorand), à propos de l’éviction de Martin Wincler.

Etc.

Certes, nous n’imputons pas à Patrick Cohen les errements de ses prédécesseurs. Mais nous posons sérieusement la question : une même position ne produit-elle pas nécessairement des effets semblables ?


Critiques des duettistes de France inter

« Les réseaux sociaux en rigolent encore », écrit Régis Soubrouillad dans un article de Marianne. Nous avons regroupé en « annexe » quelques exemples de cette rigolade. Et de cette indignation.

Si, de manière générale, nos duettistes suscitent sourires et critiques de la part de nombre de ceux qui s’expriment sur ces révoltés de parodie, c’est particulièrement le cas, une fois n’est pas coutume, de quelques confrères. Au point que nous serions (presque) tentés de ne garder que leurs commentaires.

 En un seul tweet, Hubert Huertas, journaliste à Mediapart, résume tout le bien que l’on peut penser du geste héroïque de Patrick Cohen :

 En quatre tweets, Aurélie Casse, une journaliste de LCI (dont nous ne savons rien par ailleurs), s’indigne de l’image que donne la rébellion de nos « casseurs ». Une forme de critique sociale, somme toute :

 Libération [7] ironise :

« #JeSuisPascale. Hier, l’émission nocturne de Pascale Clark sur France Inter, A’Live, devait être consacrée aux 70 ans du Secours populaire. Mais finalement, non : Pascale Clark a fait grève, en quelque sorte […] On aurait pu en rester là, mais à France Inter, la lutte prolétarienne fait partie de l’ADN. Ce matin donc, l’animateur de la matinale, Patrick Cohen, a découpé sa carte de presse en direct à l’antenne, en signe de soutien à sa consœur, en espérant au passage que tout le monde avait bien entendu. Un geste fort et courageux, à condition que Patrick Cohen s’en soit bien pris à la carte de 2015, dont la validité débutera le 1er avril. Car si c’est celle de 2014 qui a morflé, il n’aura que trois semaines à tenir sans accès gratuit aux musées. »

 Les Inrockuptibles [8] s’extasient :

« "Une bonne chose de faite !". Patrick Cohen a découpé en direct sur France Inter sa carte de presse mardi matin. Motif : sa collègue de France Inter n’a pas eu droit à la sienne cette année. […] Bref l’ensemble de l’antenne semble mobilisée pour que Pascale Clark ne paie pas sa place dans les musées. Une lutte admirable. »

 Dans Marianne, Régis Soubrouillard résume dans le titre de son article (« Pascale Clark privée de sa carte de presse (d’abord) par son employeur ! »), le sketch clarkien et ses non-dits [9], et poursuit :

« [...] Marianne a cherché toutes les indignations régulièrement formulées dans le passé par Pascale Clark en ce qui concerne son statut tellement insupportable d’intermittente du spectacle. En vain. En 2003, elle avait plutôt critiqué, déjà sur France Inter, l’intrusion ignoble d’intermittents du spectacle sur le plateau du 20 heures de David Pujadas, choisissant l’image du détournement d’avion pour décrire un Pujadas en "commandant de bord encore impuissant" !



Cette fois-ci, Pascale "l’outragée" Clark a décidé de ne pas se laisser faire, découvrant les joies de la — presque — lutte sociale. Pascale "l’offensée" Clark a ainsi décidé de se mettre en "semi-grève", limitant sa fonction à celle de DJ, n’hésitant pas à "prendre l’antenne en otage" — selon la rhétorique stupide en vigueur en cas de grève — pour évoquer son cas personnel. Une émission sur les 70 ans du Secours populaire est ainsi passée à la trappe... L’affaire était trop grave. Les réseaux sociaux en rigolent encore. [...]



Celle-ci devrait pourtant savoir que ce n’est pas la carte de presse qui fait le journaliste et qu’elle n’est en rien obligatoire pour exercer le métier. Nombre de pigistes qui rament pour l’obtenir le lui confirmeront sans doute. Elle ne devrait pas non plus s’inquiéter pour l’abattement fiscal dont bénéficient les journalistes. La carte de presse n’a rien à voir là-dedans. Si elle bénéficie du statut de journaliste à France Inter, elle continuera à en profiter.



Faut-il ici évoquer le geste quasi-comique de rébellion en fauteuil réalisé par Patrick Cohen qui, en solidarité avec sa consœur, a décidé de prendre ses ciseaux à deux mains pour découper en direct sa propre carte de presse ? D’un coup sec, le "Jan Palach" du 7/9 dit ainsi adieu aux sorties gratuites dans les musées nationaux que permet le précieux sésame, mais continuera de présenter, comme d’habitude, la matinale de France Inter. CQFD.



Deux révoltes qui se trompent de cible car le véritable responsable du non-renouvellement de la carte de presse de Pascale Clark est d’abord son employeur, France Inter, remarquablement épargné par nos communards des ondes. […]

***

Les vaguelettes médiatiques provoquées par les deux actes de la farce auront eu pour effet, non seulement de prêter à rire, mais surtout de mettre en évidence l’abime qu’il y a entre les postures en apparence et par intermittence rebelles de nos duettistes et leur réelle et permanente soumission à l’ordre médiatique et social existant

Et comment ne pas partir dans un éclat de rire avec Dominique de Villepin quand il dit à Patrick Cohen le 20 janvier 2012 : « Je suis heureux de voir que vous défendez votre chef ! » [10]


Henri Maler et Denis Souchon


Annexe : La critique des deux rebelles sur twitter

Le soutien de Nicolas Demorand fut discret :

Celui de Bernard Pivot tonitruant :

Mais les critiques dont on peut trouver des recueils sur d’autres sites [11] ont abondé.

Petite sélection :

Bonus  : Un sommet du journalisme (qui mérite le prix Pulitzer ?), quand Pascale Clark et Patrick Cohen se moquent de Nicolas Demorand.

Superbonus :

 
Acrimed est une association qui tient à son indépendance. Nous ne recourons ni à la publicité ni aux subventions. Vous pouvez nous soutenir en faisant un don ou en adhérant à l’association.

Notes

[1On peut encore l’entendre ici à partir de 1’25’’.

[2Source : Paris Match.

[4Propos clarkiens retranscrits dans notre article « "Grands" journalistes pour "petits" candidats ».

[5On peut encore l’entendre ici.

[6Elle, 4 novembre 2002.

[9Étant fatalement flattés de voir Acrimed mentionné favorablement, c’est à regret que nous ne reproduisons pas l’article (à lire) in extenso.

[11Par exemple sur le site du nouvelobs : « Patrick Cohen découpe sa carte de presse pour Pascale Clark : très risible ». Ou sur le blog « Bigbrowser » du Monde, sous un titre… prudent : « DJ Clark : le coup de gueule de Pascale Clark ne fait pas l’unanimité ».

A la une

Sortie du Médiacritiques n°52 : Médias et écologie

À commander sur notre site ou à retrouver en librairie.