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Appel à souscription : 60 000 euros pour que vive Acrimed !

par Acrimed,

Acrimed vient de fêter ses 20 ans. Et comme nous l’avons écrit à cette occasion, Acrimed est une « créature fragile » puisqu’elle « repose sur une activité militante, pour l’essentiel bénévole, et ne dispose que de faibles ressources financières ».

Il ne sert à rien de (se) raconter des histoires : pour qu’Acrimed continue à exercer dans des conditions acceptables ses activités, il nous faut de nouvelles « ressources », sans lesquelles nos caisses continueront à se vider dangereusement, laissant craindre un dépôt de bilan qui pourrait survenir à la fin de l’année 2016.

Autrement dit et concrètement :


Acrimed a besoin d’argent, et plus précisément de 60 000 euros !

Notre situation financière n’est pas dramatique, mais inquiétante. Merci de vous en inquiéter.

Qu’on se le dise : nos ressources financières ne sont constituées que par les cotisations des adhérents, des dons et la vente de notre délicieux magazine, Médiacritique(s). Nous ne recevons aucune subvention [1], notre site est intégralement gratuit et nous sommes réfractaires à toute forme de publicité.

Ces 60 000 euros représentent 0,36 % des 16,6 millions d’euros de revenus de l’oligarque des médias Arnaud Lagardère en 2014.

Ces 60 000 euros, qui pour cet héritier ne sont que le montant d’un pourboire, nous sont indispensables, pour continuer notre activité multiforme – par nos publications, nos débats, nos actions –, de critique des médias, pour une transformation démocratique des médias. Ces 60 000 euros nous sont indispensables notamment pour pérenniser l’emploi de trois salariés, hélas mal payés.

Vous nous aimez un peu, beaucoup, passionnément ? Prouvez-le !

Vous nous approuvez un peu, beaucoup, passionnément ? Prouvez-le !

Comment ? En donnant, bien sûr (c’est ici). Et mieux encore, car Acrimed est d’abord et avant tout une association, dont le combat – (re)faire de la question des médias une question politique – ne peut être qu’un combat collectif : en adhérant ! (c’est )

Comme nous, vous êtes partisans d’une appropriation démocratique des médias ? Vous pouvez commencer en vous appropriant un peu… Acrimed.

Et pour vous approprier un peu, n’hésitez pas à verser beaucoup (dans la mesure de vos moyens !), car il vous sera beaucoup remboursé – proportionnellement en tout cas : à hauteur de 66 % très exactement [2].



Bref, nous avons besoin de vous, sans prendre le risque qu’il soit, dans quelques mois, trop tard.

20 ans, le plus bel âge pour ACRIMED ? Assurément, quand on reçoit les témoignages de sympathie et d’encouragement des adhérents et des personnes qui nous soutiennent, partagent et relaient tout ou partie de nos analyses et propositions pour une appropriation démocratique des médias.

Et Acrimed a envie de continuer. Alors si vous partagez cette envie, faites-vous plaisir, faites-nous plaisir :

Donnez ! Adhérez ! Souscrivez !


Le collectif d’animation d’Acrimed


N.B.  : Le 2 mai 2014, le Tribunal administratif autorisait Acrimed à faire bénéficier ses donateurs et adhérents de l’exonération fiscale de 66% réservée aux associations satisfaisant aux conditions de l’intérêt général. Mais l’administration fiscale ne l’entendait pas de cette oreille et, après plus de cinq ans de procédure, a fait appel de cette décision. En attendant l’issue de cette « affaire » qui n’a que trop duré, le recours de l’administration n’étant pas suspensif, nous conservons le droit de vous permettre d’affecter une partie de vos impôts au soutien de notre association : votre don ou votre cotisation seront exonérés à hauteur de 66 %.

 
Acrimed est une association qui tient à son indépendance. Nous ne recourons ni à la publicité ni aux subventions. Vous pouvez nous soutenir en faisant un don ou en adhérant à l’association.

Notes

[1Pas de subvention régulière du moins. Signalons cependant, en les en remerciant, que l’année dernière, Noël Mamère, député, et Pierre-Yves Collombat, sénateur, nous ont chacun accordé 2000 euros sur leur réserve parlementaire.

[2Pour des détails, voir ci-dessous.

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